Héraldique – Armoiries par ordre alphabétique |
Toutes les illustrations de cette page sont réalisées par mes soins.
Camprond (de) |
Lieu : en Normandie. Paroisses de Gorges, Saint-Germain-sur-Sèves et Méautis pour les branches qui m’intéressent.Titre : Seigneur et écuyer d’argent à une quintefeuille de gueules |
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Source :
Archives Départementales de la Manche. |
Chabot |
d’or à trois chabots de gueules | |
Source :
Les dessins des deux blasons ci-dessus sont réalisés d’après le sceau de « Girard Chabot, seigneur de Raiz, 1276″. Sigillographie des seigneurs de Laval, 1095-1605 / par Bertrand de Broussillon et Paul de Farcy, Source : Bibliothèque nationale de France, Provenance : bnf.fr |
Chabot-Retz
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d’or à trois chabots de gueules « La branche de Retz y avait ajouté comme brisure un lambel à trois pendants. » |
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Source :
Les dessins des deux blasons ci-dessus sont réalisés d’après le sceau de « Girard Chabot, seigneur de Raiz, 1276″. Sigillographie des seigneurs de Laval, 1095-1605 / par Bertrand de Broussillon et Paul de Farcy, Source : Bibliothèque nationale de France, Provenance : bnf.fr (p.111) Les Chabot portaient : d’or à trois chabots (poissons à grosse tête) de gueules. La branche de Retz y avait ajouté comme brisure un lambel à trois pendants. Tel est en effet le blason qui figure, d’après une empreinte de janvier 1267, à la page 295 du Cartulaire de la Couture sur le sceau de Gérard Chabot II de Retz, seigneur de Château-Gontier par sa femme Emma, issue de Jacques de Château-Gontier et d’Avoise de montmorency, la fille d’Emma de Laval (1). _____________________ (1) Aux sources relatives à l’histoire des seigneurs de Retz, indiquées dans Bourjolly (I, 232), il convient d’ajouter le volume publié en 1886 par M. L. Sandret : Histoire généalogique de la maison de Chabot (Nantes, 379 p. in-4°, tiré à cent exemplaires). |
Châtillon (de)
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« De gueules à trois pals de vair, au chef d’or. » Armes portées par les Châtillon de la branche aînée.Selon André du Chesne : les Comtes de Blois et de Dunois de la Maison de Châtillon, portaient également ces armes. |
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Source(s) :
1. Réalisé avec le blason de Toucy d’après « Sigillographie des seigneurs de Laval, 1095-1605 / par Bertrand de Broussillon et Paul de Farcy » Source : Bibliothèque nationale de France, Provenance : bnf.f |
Hugues I de Châtillon, Seigneur de Crécy, Comte de Stain Paul
Selon André du Chesne il s’agissait des armes de Hugues I de Châtillon +1248, Seigneur de Crécy , Comte de Saint-Pol (vers 1232) , Seigneur de Châtillon x Marie d’Avesnes, Comtesse de Blois.
« Il brisa ses armes de pals d’azur au chef, pour difference des plaines, qui demeurerent à Guy de Chatillon Comte de Saint Paul son frere ainé.« |
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Source :
André du Chesne « Histoire de la Maison de Chastillon sur Marne |
Guy II, Comte de Saint-Paul, fils du précédent.
« De gueules à trois pals de vair, au chef d’or, chargé d’un lambel d’azur de cinq pièces. »
Selon André du Chesne, armes portées par les Comtes de Saint Paul de la Maison de Châtillon : Guy II de Châtillon, Comte de Saint Paul x Mahaut de Brabant. |
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Source :
André du Chesne « Histoire de la Maison de Chastillon sur Marne |
Jean dit de Blois, Seigneur de Château-Renault et de Millançais
« de gueules à trois pals de vair, au chef d’or chargé d’un écusson de flandres au 1er canton. »
Il était le fils puiné de Hugues II de BLOIS-CHATILLON , Comte de Blois (1258-ca 1303) et de Beatrice de FLANDRE †1303 fille de Guy de DAMPIERRE, Comte de Flandre (1225-1305) et d’Isabeau de LUXEMBOURG, Héritière du comté de Namur †1295.
p, li { white-space: pre-wrap; } Il prit le surnom de Blois retenu après lui par tous les puisnés de cette branche.
Il brisa ses armes d’un écusson de Flandres au premier canton du chef et mourut sans enfants. |
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Source :
André du Chesne « Histoire de la Maison de Chastillon sur Marne |
Châteaubriant (de) (ou Châteaubriand) |
Lieu : en Bretagne.
Titre : Baronnie de gueules semé de fleurs de lys d’or Devise : Mon sang teint les bannières de France. |
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Source :
Blason dessiné d’après les descriptions ci-dessous et les sceaux des Laval. Nobiliaire de Bretagne ou tableau de l’Aristocratie Bretonne depuis l’établissement de la féodalité jusqu’ la nos jours Par Potier de Courcy, http://books.google.com/books?id=L6ZBAAAAcAAJ
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Chauvigny (de) |
Titre : Seigneur de Châteauroux (Château-Raoul selon André du Chesne)
d’argent à une face fuselée de gueules, au lambel de sable de cinq pièces. |
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Source :
André du Chesne « Histoire de la Maison de Chastillon sur Marne |
Clare (de)
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Lieu : Normandie-Angleterre
Titre : Earl of Gloucester (Comte) |
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Clisson (de) |
De gueules au lion d’argent, armé, lampassé et couronné d’or.
Devise : Pour ce qu’il me plaist. Olivier IV, Comte de Porhoet , Seigneur de Belleville, de Montagu , Connétable de France (28 novembre 1380), décédé le 23 avril 1407, en son château de Josselin et enterré en l’église Notre-Dame. |
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Source :
Dessin réalisé d’après le blason que j’ai fait pour la baronnie de Vitré. Nobiliaire de Bretagne ou tableau de l’Aristocratie Bretonne depuis l’établissement de la féodalité jusqu’ la nos jours Par Potier de Courcy http://books.google.com/books?id=L6ZBAAAAcAAJ
Sigillographie des seigneurs de Laval, 1095-1605 / par Bertrand de Broussillon et Paul de Farcy
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Coucy (de) |
Titre : Seigneur
Facé de vair et de gueules de six pièces |
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Source :
André du Chesne « Histoire de la Maison de Chastillon sur Marne |
Craon (de) |
Titre : Baron
Losangé d’or et de gueules |
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Source :
Dessin réalisé d’après le sceau ci-dessous. Sigillographie des seigneurs de Laval, 1095-1605 / par Bertrand de Broussillon et Paul de Farcy (p.15) 11. – Sceau de Maurice II de Craon. Voir ici : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411367z/f17 Nobiliaire de Bretagne ou tableau de l’Aristocratie Bretonne depuis l’établissement de la féodalité jusqu’ la nos jours Par Potier de Courcy http://books.google.com/books?id=L6ZBAAAAcAAJ Craon (de) (orig. d’Anjou), baron dudit lieu, – Sr de la Suze, – de Briolay, – de Chantocé, – d’Ingrande, – de Sablé. Guy se croisa en 1190. La branche aînée fondue, en 1373 dans les Sully, d’où la baronnie de Craon est passée aux la Trémouille, qui la vendirent au commencement du dix-septieme siècle, aux La Forest d’Armaillé. |